Maitre de conférences en archéologie médiévale
Après une thèse en histoire, Jean-Jacques Schwien se spécialise en archéologie, avec des chantiers urbains (Strasbourg, Besançon), des fouilles de maisons rurales, des recherches dans le domaine des châteaux (en particulier en Franche-Comté), sans oublier des études sur la culture matérielle (le chauffage au poêle par exemple). Pour ce faire, il a œuvré au sein de diverses institutions, l'Écomusée d'Alsace, l'Association pour les fouilles archéologiques nationales, la DRAC de Franche-Comté à Besançon. Il a été aussi, à partir des années 1980, l’un des responsables du Groupe d’Archéologie médiévale d’Alsace et le maître d’œuvre d’un projet collectif de recherches sur les châteaux forts alsaciens, regroupant de nombreux acteurs, bénévoles et institutionnels. Depuis 2002, il enseigne à l'Université de Strasbourg. Très impliqué dans le monde professionnel de la recherche, il est aussi investi dans les activités bénévoles en faveur du patrimoine.
Docteur en médecine et archéologue
Ses études de médecine l’amènent à une carrière de chirurgien spécialiste en oto-laryngologie. Le patrimoine castral alsacien est l’un de ses domaines de prédilection et il dirige durant plusieurs années des fouilles au château de Landsberg. Défenseur inlassable du patrimoine régional, il joue un rôle actif dans diverses commissions, dont la Commission régionale du Patrimoine et des Sites.
Architecte et historien d'art
Architecte en chef de la Communauté urbaine de Strasbourg, il participe à la reconstruction de nombreux édifices strasbourgeois après 1945. Vice-président du comité départemental de l’Inventaire général, il est également un spécialiste reconnu de l’architecture du Moyen Âge, sujet sur lequel il publiera de nombreuses contributions.
Chanoine, professeur de théologie
Professeur au Grand Séminaire et à la Faculté de Théologie de Strasbourg, il est également président de la Société d’histoire de l’Église d’Alsace. Directeur des Archives de l’Église d’Alsace, il publie de nombreux articles et est membre correspondant de diverses académies et sociétés savantes.
Administrateur de la Bibliothèque nationale universitaire de Strasbourg
Historien de la médecine, il est nommé administrateur de la Bibliothèque nationale et universitaire en 1919 et aura la charge de cette institution jusqu’en 1950.
Chanoine et historien
Professeur d’histoire ecclésiastique au Grand Séminaire de Strasbourg, il collabore à de nombreuses revues régionales. D’abord secrétaire, puis vice-président, il devient président en 1932, puis à nouveau de 1945 à 1947
Archéologue
Connu surtout pour ses importants travaux sur le site préhistorique d’Achenheim, auquel il consacre sa thèse, P. Wernert est également chargé de cours de Préhistoire à l’Université de Paris. Il œuvrera à la survie de la Société, dont les biens ont été mis sous séquestre, durant la difficile période de l’annexion de l’Alsace au Troisième Reich.
Chanoine et historien
Professeur d’histoire ecclésiastique au Grand Séminaire de Strasbourg, il collabore à de nombreuses revues régionales. D’abord secrétaire, puis vice-président, il devient président en 1932, puis à nouveau de 1945 à 1947.
Historien, recteur de l’Académie de Strasbourg
Professeur d’histoire à la Faculté de Nancy, puis à la Sorbonne, ce spécialiste du Moyen Âge devient doyen de la Faculté des Lettres de Strasbourg où il enseigne l’histoire des institutions et la civilisation médiévale.
Historien
Mécène et passionné d’art, fondateur de la Revue alsacienne illustrée, il est très engagé dans le mouvement culturel alsacien du début du 20e siècle, aux cotés de Charles Spindler et du Groupe de Saint-Léonard. Jugé trop francophile par les autorités du Reichsland, il doit démissionner, avant de reprendre ses fonctions en 1919, lors du retour de l’Alsace à la France.
Chanoine, et homme politique
Professeur d’histoire de l’Église et d’archéologie chrétienne au Grand Séminaire de Strasbourg, il très actif dans diverses associations catholiques, Il est également très engagé sur le plan politique et social et défend le statut scolaire et l’enseignement bilingue en tant que sénateur du Bas-Rhin.
Historien
Mécène et passionné d’art, fondateur de la Revue alsacienne illustrée, il est très engagé dans le mouvement culturel alsacien du début du 20e siècle, aux cotés de Charles Spindler et du Groupe de Saint-Léonard. Jugé trop francophile par les autorités du Reichsland, il doit démissionner, avant de reprendre ses fonctions en 1919, lors du retour de l’Alsace à la France.
Chanoine et historien
Il poursuit l’œuvre de son prédécesseur et s’engage dans la collecte de documents pour la reconstitution de l’emblématique manuscrit de l’Hortus deliciarum, détruit en 1870. Il est également président de la Société des Amis de la Cathédrale.
Chanoine
Professeur au Petit Séminaire, il côtoie A. Straub avec lequel il collabore aussi à la Revue catholique d’Alsace. Fortement marqué par les destructions dûes au siège de 1870, il s’attache à réunir les textes des nombreux manuscrits disparus dans l’incendie de la bibliothèque de Strasbourg et oriente la Société vers la sauvegarde de ce patrimoine archivistique.
Chanoine, historien et archéologue
Professeur d’histoire et d’archéologie au Petit Séminaire, il est l’un des fondateurs de la Revue catholique d’Alsace. Fin connaisseur du patrimoine régional, il est également archéologue (fouilles de la nécropole gallo-romaine tardive de la Porte Blanche) et collectionneur d’art religieux. Il est nommé conservateur des monuments historiques en 1882.
Négociant et homme politique
Conseilleur municipal de Strasbourg, il est également juge au Tribunal de Commerce, puis élu à la Délégation d’Alsace-Lorraine.
Archiviste et historien
Professeur d’histoire à la Faculté de Nancy, puis à la Sorbonne, ce spécialiste du Moyen Âge devient doyen de la Faculté des Lettres de Strasbourg où il enseigne l’histoire des institutions et la civilisation médiévale.